lundi 2 avril 2018

Mon saumon du doute à moi

Cela fait un mois que je m'acharne en vain à écrire quasi-quotidiennement un poème que je visualise dense, satirique et utilisant tout l’attirail postmoderne qu'un scribouilleur tel que moi peut se permettre.
Après de nombreuses tentatives infructueuses, présentement je n'ai que le titre (probablement indépassable) que
voici :

LES MIDAS DE CE MONDE VS. L'HOMME QUI PISSAIT DE L'EAU RÉGALE

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